Lundi 7 et 21 Juin de 11h à 12h – Café itinérant
En Juin les rendez-vous avec le centre Arcolan , l’espace familial et social de Cologne avec qui nous sommes heureux d’avoir mis en place un partenariat, se tiendront les lundis 7 et 21.
Rdv de 11h à midi pour un moment de discussion, d’échanges et d’accès aux services et aux activités proposées par le centre social sur le territoire.
Tout cela autour d’une boisson chaude qui vous sera offerte.
https://www.facebook.com/Arcolan-Espace-Familial-et-Social-442829305778158/
Samedi 12 Juin – 20h30 – Concert
Nous aurons le plaisir d’accueillir le pianiste Toulousain Irwin Gomez
Ouverture de portes 19h30.
Réservation conseillée par sms au 0645558943 ou par mail à contact@asso-ouverture.fr
Jeudi 17 Juin – 19h30 – Rencontre débat
On se retrouve le jeudi 17 juin à partir de 19h30. On aura de le plaisir d’accueillir Lalou de la Coordination des Intermittents et Précaires pour s’informer et débattre de la réforme de l’assurance chômage et de la situation du mouvement d’occupation des lieux culturels, notamment à Toulouse et Auch
Réservation conseillée par sms au 0665784417 ou par mail à contact@asso-ouverture.fr
Samedi 26 Juin – 17h30 – Rencontre Débat
Quand les oreilles montent au front
On se retrouve pour évoquer l’histoire de la radio Lorraine Coeur d’Acier avec Frédéric ROUZIÈS co-auteur d’un coffret de 5 CD documentaires : « Un morceau de chiffon rouge » (VO Éditions). Présentation accompagnée d’extraits sonores et diffusée sur des web radios locales. L’occasion aussi de rendre hommage à Marcel Trillat, journaliste fondateur de LCA, militant communiste et CGT disparu récemment.
« Radio créée en mars 1979 à Longwy, au cœur de la sidérurgie lorraine en lutte contre la suppression d’emplois, par la Confédération générale du travail (CGT). La télévision était alors publique — et sous la coupe de l’Elysée ; une telle radio était illégale. LCA, portée notamment par Marcel Trillat et Jacques Dupont, témoigne d’un temps de grande invention journalistique. LCA n’avait pas pour objectif de porter les mots d’ordre syndicaux, mais tout à la fois d’organiser la riposte contre les licenciements, d’aborder les questions les plus diverses (conditions de vie hors de l’usine, sexualité, massacres au Salvador…) et de donner la parole à ceux qui ne l’ont jamais et dont les mots ont une force extraordinaire. La liberté de ton finira par gêner les dirigeants nationaux de la CGT, au point de condamner la station à mort. Aujourd’hui, la télévision n’est plus d’Etat, les radios libres sont devenues commerciales… mais les paroles ouvrières sont aussi absentes qu’il y a trente ans. » (Martine Bulard – LMD)
Réservation conseillée par sms au 06 65 78 44 17 ou à contact@asso-ouverture.fr
Bar ouvert à l’issue de la rencontre pour continuer à bavarder autour d’un verre …